Instants érotiques

Les lumières tamisées sublimaient les peaux nues et offertes que caressaient les mains expertes et impatientes des coquins attitrés de ces dames.
Le libertin expérimenté après les préliminaires d’usage, prit les « choses » en main et honora de son membre fier et dressé la chatte ouverte et déjà humide de sa coquine attitrée, lapant et suçant les tétons érigés et combien excités. La coquine en question agrippait son cul enfonçant ses doigts dans la peau ferme et musclée du monsieur.
Dans un mouvement de plaisir, la dame honorée entrouvrit les paupières et admira la scène sensuelle et érotique du couple qui se caressait à côté et dont les va et viens effleuraient sa peau si réceptive au désir.
Un échange charnel et consenti s’opéra doucement et les mains passèrent sur les autres corps. L’intérieur des cuisses de la libertine novice, la peau douce de ses seins, la coquine honorée savourait avec délectation la sensation d’une autre peau féminine.
Des souffles rapides et quelques gémissements émanaient de ce coin câlin ouvert, où s’exhibaient délicieusement les quatre corps enchevêtrés. Les mains passaient des seins à la bite et des torses à la chatte. Les cris et gémissements de jouissance attiraient les voyeurs tandis que le côte-à-côtisme se transformait en mélangisme.
Tout n’était que plaisir et volupté, les positions les plus improbables prenaient naissance naturellement. Les clitoris gonflés de désir, les couilles pleines, chacun s’offrant sans aucune retenue. La coquine non novice sentait la douceur des doigts dans sa chatte et l’idée, un instant amusante, de savoir à qui étaient ceux-ci, lui effleura l’esprit.
Le souhait d’un monsieur de voir les femmes ensemble, exacerba le désir des libertines excitées. Lorsque leurs peaux se touchèrent, leurs seins lourds et généreux se caressant, le baiser qu’elles échangèrent excita ces messieurs. Les femmes coquines et libérées sentant sur leurs courbes rondes et soyeuses les mains avides de ceux-ci entreprirent de satisfaire à deux les verges fières des libertins.
Les doigts, langues et bites, contribuaient à donner du plaisir, et ce n’est pas les regards envieux des libertins voyeurs qui ralentirent leurs ardeurs.
C’est haletante et légèrement excitée que la libertine se réveilla soudainement découvrant avec stupeur qu’elle était sur son canapé. Lorsqu’elle se redressa, le sourire aux lèvres, les légers tiraillements et courbatures ressentis à des endroits intimes lui rappelèrent que tout cela s’était réellement passé et que oh merci, ce n’était pas un rêve mais une expérience charnelle, sensuelle et inoubliable.