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Une soirée spéciale avec elle, une belle rousse ayant quelques années de plus que moi au compteur de la vie, douce et incandescente, frémis sous mes doigts, mes caresse.

Il fait 200°F dans la pièce, je n'ai bue que quelques verres et pourtant je ne sais plus où j'habite tant je suis groggy sous la chaleur de son corps et la douceur de sa peau. J'entame son milieux pour lui faire plaisir, ma langue glisse sur ses partis en la faisant gémir à nouveau, je sens mon visage s'humecter d'un mélange entre ma transpiration et ses sécrétions chaudes, parfumé à l'orange. J'aime faire parcourir mes mains sur elles, détaillant chaque parcelle de sa peau des aisselles au plis de l'aine et elle me le rend bien, un plaisir mutuel qui me fait presque perdre la raison.

J'ignore comment elle fait mais j'ai si chaud, j'ai le feu au bas ventre et dans la tête, je me consume. Elle a gagné je n'ai pas résisté longtemps avant de fusionner avec elle, d'échanger nos chaleurs respectives au fil de nos va et viens, jouissant l'un dans l'autre dans un feu d'artifice épique sur font de "l'hymne à la joie". Avant de s'endormir blottis l'un dans l'autre.

Pas besoins de réveil pour bondir le lendemain de son lit encore chaud constatant son absence, elle est peut être partie au boulot que sais-je? Sur la table de nuit une enveloppe avec mon nom inscrit dessus, j'y sors très surpris une liasse de billets...
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Fiction total j'ai pas vécu ça. (je m’entraîne juste en narration, ça va comme ça?)

- C'est un fantasme probablement pour beaucoup d'homme, ce qui ne doit pas arriver souvent par surprise.

- Avez vous déjà payé ou été payer pour ça? (no juge je suis pas là pour ça)

- Quelles serait/ou a été votre réaction? Quelque soit vos sexe/genre respectifs.
Dernière modification le 29/08/2017 18:18 par cerdoudou.
Vivement une sexualité open source...
   aime(nt) ça.
Merci du retour, oui pour l'orthographe j'y travaille...

Promis j'essaierai de faire plus direct pour les prochaines
Vivement une sexualité open source...
Fantasme masculin je ne sais pas, je ne conçois pas de débarquer chez une libertine les mains vide, question d'équilibre de courtoisie de.. de.. (ce que l'on veut) mais ça n'a rien à voir avec le fait de "PAYER" un acte sexuel.

Entièrement d'accord avec Citonglacé, tout en disant que j'ai lu, plus nian nian que ça ici et comme les hommes ici ont tendance a flingué les autres et ne pas encourager leurs congénères moi je dis: continu si il y a vraiment de l'envie, la critique est aisée, mais tu t'es jeté à l'eau et rien que pour ça je dis GO!..
   aime(nt) ça.
Dans les deux cas ça fait avancer, et je suis très content de voir des encouragement, ça me motive pour la suite

Pour ce qui est du fantasme en effet ça ne concerne pas toute la gente masculine, c'est juste des connaissances qui m'en on fait part (perso je ne sais pas du tout comment je le prendrais au final) et je me demandais si ça concernait du monde ou pas.
Vivement une sexualité open source...
En guise de réponse je me permets de poster un fantasme que j'ai écrit il y a déjà longtemps. Preuve que ce n'est pas qu'un fantasme masculin. Je ne l'ai jamais réalisé et ne pense pas le faire, il appartient pour moi à la catégorie de fantasmes qui ne servent qu'à exciter et n'ont pas pour destinée d'être vécus. Quant à ma réaction si on me proposait de l'argent, je suppose que tout dépendrait des circonstances et de la manière, de là à accepter... Je ne pense pas.

Bordeaux, la nuit.

Je marche tranquillement dans l’une des rues les plus fréquentées de la ville.
De retour d’une séance de cinéma, je flâne vers ma voiture, pas pressée de rentrer.
Plutôt envie de profiter de l'air doux d'une des premières nuits de printemps.
Une petite brise agréable s’emmêle dans mes cheveux, s’insinue sous mon chemisier et frôle doucement ma poitrine. Sensation divine des caresses du vent sur ma peau…

Au bout de la rue, un homme adossé contre une porte d’immeuble me regarde marcher vers lui.
Je croise son regard, noir, presque inquiétant mais d’une intensité et d’une sensualité débordante. Ce regard me fait baisser les yeux, les sens en alerte.

Je continue de marcher mais de manière moins assurée, consciente que mon chemin m’oblige à passer devant lui, consciente que ce croisement va être délicat…

Arrivée à sa hauteur, je ne peux m’empêcher de ralentir un peu. Une main s’empare de mon bras, me forçant à m’arrêter. Je sursaute, à la fois prise d’angoisse mais aussi d’un sentiment étrange au creux du ventre… Un désir incongru vue la situation….
D’un geste, il m’oblige à lui faire face, sa main est ferme mais pas brutale, elle est large, douce. Je sens son odeur que le vent amène vers moi, délicieux parfum d’homme….
Il est très calme, un petit sourire orne une jolie bouche pulpeuse, une bouche à embrasser. Ses traits sont brusques, très masculins, une impression de puissance se dégage de lui. Et il y a son regard, deux yeux de braise, brillants, noirs, incisifs et provocants….

Il me tend une liasse de billets et me montre l’entrée de l’immeuble et sa porte ouverte….
Impossible qu’il ait pu me prendre pour une prostituée ; je suis face à un inconnu extrêmement désirable qui me propose de me payer pour disposer de moi…. Mille protestations me traversent l’esprit, la peur et des horreurs indescriptibles défilent dans ma tête…
Mais mon corps, comme indépendant de ma volonté, le suit…

Il me tient toujours le bras mais pour m’accompagner et me guider plutôt que pour me forcer. Aucun besoin de me forcer du reste : mes pieds avancent tout seuls.
Nous arrivons devant un appartement ; il ouvre la porte et je découvre un salon décoré sobrement mais avec goût.
Mon inconnu s’installe dans un fauteuil face à moi, pose la liasse de billets sur une table à côté et se contente de me fixer, attendant que je fasse quelque chose.
Je veux m’asseoir à mon tour mais il me fait non de la tête. Je reste donc debout, un peu pataude, ne sachant pas quoi faire exactement, les yeux plongés dans les siens dans lesquels je crois deviner du plaisir à me sentir mal à l’aise.

Ce regard m’offre un sursaut de fierté, j’ai envie d’aller au bout de ma folie, puisque je l’ai suivi ici autant lui en donner pour son argent !
Je remonte lentement mes mains le long de mes cuisses, mes hanches, ma taille, jusqu’à mes seins que je caresse doucement à travers le tissu, tissu qui excite mes tétons déjà durcis par la situation. Le plaisir que cela me procure m’entrouvre la bouche, il sourit plus largement ; j’ai trouvé ce qui lui faisait envie.
Je m’enhardis et déboutonne mon chemisier, lentement, sensuellement, jusqu’au dernier petit bouton nacré, puis je passe mes doigts sous le tissu et l’ouvre juste assez pour qu’on puisse deviner ma poitrine.
Je passe ensuite une main dans mon dos pour dégrafer ma jupe et la laisser glisser à terre, découvrant que je ne porte aucun dessous.
Je surprends un tressaillement chez mon hôte et mes yeux s’attardent sur son pantalon qui laisse deviner une jolie bosse flatteuse.

Rassurée, j’ôte mon chemisier, fais glisser les bretelles de mon soutien gorge et dévoile mes seins lourds qui se posent sur mon buste. Je me caresse maintenant tout le corps du bout des doigts et de la paume des mains, en tournant autour de mon sexe sans jamais le toucher ni l’effleurer.
Je sens le désir monter chez l’inconnu, je m’approche lentement de lui jusqu’à être toute proche. Je prends une de ses mains et continue à me caresser avec, toujours en évitant mon sexe. Je passe sa main avec légèreté ou de manière plus appuyée sur mes hanches, mon ventre, mes fesses, mes seins. Ses yeux ne quittent pas les miens, je sens son désir mais aussi sa patience, comme s’il avait toute la nuit, comme s’il voulait que la montée soit lente et que l’envie atteigne son paroxysme pour un plaisir suprême.

Je me retourne et me penche pour lui offrir la vision de mon anatomie la plus intime ; je m’approche de son visage à reculons, prends appui de mes mains sur ses genoux et ondule sous son nez. Je sens son souffle sur ma vulve. Savoir sa langue à quelques centimètres de moi me rend folle de désir, je suis déjà trempée.
J’ondule du bassin en d’infimes mouvements qui se rapprochent de plus en plus de sa bouche, jusqu’à ce que je sente des frôlements : ses lèvres d’abord, puis le bout de sa langue qui vient vers moi, pour cueillir les gouttes de plaisir que je sens chuinter entre mes lèvres.
Je ne tiens plus et bouge de façon à me caresser avec cette langue dure, large et rugueuse qui ne bouge plus : je me frotte contre elle pour la sentir de mon anus à mon clitoris, longuement avec des petits mouvements circulaires. Puis je m’arrête pour la placer à l’entrée de mon vagin bouillant et fiévreux, marque une pause et, d’un petit coup de rein sec m’empale sur cette langue en faisant des petits allers et retours. Je sens que mon inconnu à sorti sa langue autant qu’il peut pour m’en offrir chaque millimètre.
Son souffle court m’indique que je ne suis pas la seule à prendre un plaisir inédit et délicieux.

Poursuivant ces petites pénétrations extatiques de cette langue docile, je saisis une main et caresse mon petit bouton avec. J’ai la gorge sèche à force de gémissements ; des frissons parcourent mon corps et j’ai les jambes qui tremblent.
Ma jouissance me prend comme une vague, de fortes contractions envahissent mon ventre, ma chatte, mon anus, tendent mon corps et m’arrachent un long cri de bonheur.
À cet instant, l’inconnu colle sa bouche contre mon sexe et je me sens couler sur ses lèvres. Je reste encore ainsi quelques instants, le temps de reprendre mon souffle, mes esprits, petite bulle de temps suspendu, de bien être et de lent reflux de la vague de plaisir.

Je me redresse, me remets face à lui et m’assois à califourchon sur ses cuisses : je caresse son torse de mes seins, passant mes tétons sur les siens, effleurant sa bouche de la mienne. Je sens mon odeur humide sur son visage, j’ai pris son sexe dressé dans ma vulve et fais de légers va et viens pour nous caresser réciproquement. À chaque fois, son gland, doux et dur, bute contre mon clitoris.
Il ne bouge toujours pas, se laissant utiliser comme un sextoy vivant ; j’aime l’expression de son visage, les yeux mi-clos pour profiter des sensations, comme à l’écoute de son corps et du mien, offert à mes fantaisies, sans rien réclamer.

Ma langue force sa bouche pour aller à la rencontre de la sienne, pour goûter le sel du plaisir qu’il m’a aidé à me donner. Il ferme les yeux sous mon baiser. Ce dernier abandon me rend folle, je veux le sentir en moi, sentir son sexe emplir mon ventre. Je m’avance tout contre lui et me pénètre avec sa verge. Elle est dure, chaude, je la sens s’insinuer contre les parois de mon vagin, s’y creuser une place, je roule du bassin pour la sentir entrer encore et encore, presque ressortir à chaque fois pour mieux me reprendre avec.

Mes gestes sont lents, je veux sentir chaque parcelle de cette queue vibrante me pénétrer de plus en plus profondément, j’effectue de petits cercles pour bien la sentir en moi.
Je glisse un téton dans sa bouche entrouverte, il grogne et le tète, m’arrachant de petits cris.
N’y tenant plus, j’accélère brusquement le mouvement, perchée de tout mon poids sur ce membre pour une chevauchée sauvage. Mes coups de reins lui arrachent ses premiers gémissements, son visage est crispé de plaisir, rouge, un peu congestionné, je sens qu’il tente de se maîtriser pour ne pas jouir de suite et faire durer le plaisir.
Je ralentis quelques secondes pour le soulager un peu puis reprends de plus belle ; je me cambre sur son sexe, je me sens lionne, j’ai des envies de rugir, de griffer et mordre pour marquer cette chair comme étant mienne.
Je le sens venir, lui prends la tête de mes mains, le force à ouvrir les yeux, plonge mon regard dans le sien, me retire d’un dernier coup de bassin et déguste son expression et le voile sur ses pupilles au moment où il déverse de longues giclées brûlantes sur ma vulve et mes lèvres, grognant de joie animale.
La chaleur de ce liquide flatteur m’arrache un orgasme très court mais intense.

Je reste encore quelques instants contre lui, frottant doucement mon sexe contre le sien pour mélanger nos jouissances, pantelante et langoureuse.
Je m’extirpe à regret de la chaleur et la douceur de son corps et me rhabille lentement, sans le regarder.
Je me dirige vers la porte mais sa main se repose sur mon bras et m’en empêche : de l’autre main il fourre la liasse de billets dans mon soutien-gorge. Je veux lui rendre mais son regard ne souffre pas la contradiction, j’ai l’impression que je le blesserais et anéantirais les instants passés en refusant.
Je le laisse donc faire, nous nous sourions doucement et je sors, sans avoir échangé un mot, sans rien connaître de lui que ce que son corps m’a donné.

Je titube un peu dans les escaliers, comme ivre de sensations. Contre mon sein, la liasse de billets frotte mon téton et l’excite douloureusement à chaque mouvement, comme pour me rappeler que ce n’était pas un rêve.

J’ai longuement hésité et résisté à mon envie de retourner le voir. Lorsque je me suis enfin décidée à le faire, le cœur battant entre mes cuisses, un autre m’a ouvert. Je suis repartie, le ventre crispé sur une sensation de vide.
  et  aiment ça.
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