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J’ai prévu, ce soir-là, de me rendre à ce vernissage d’une exposition de photographies pour y retrouver quelques amis. Tu as décidé de m’y rejoindre mais tu ne m’en as rien dit. Tu te réjouis à l’avance de ma surprise provoquée par ton arrivée inattendue.
Tu as choisi pour cette occasion une robe noire fluide, mi-longue. Une robe un peu provocante, frôlant même légèrement l’indécence, sous laquelle tu auras prévu, malicieuse, de ne rien mettre.
Le lieu du vernissage est déjà très animé lorsque tu arrives. Tu me cherches un long moment parmi les petits groupes d’invités, occupés à converser, un verre à la main. Tu finis enfin par me trouver, discutant à bâtons rompus avec deux amis. Tu t’approches lentement. Je tourne la tête et nos regards se croisent aussitôt. Tu t’étonnes de ne lire dans mes yeux aucune surprise et tu aimes cela, que je ne sois pas étonné de tes envies, de tes initiatives et de constater aussi l’excitation qu’elles suscitent en moi. Tu sais qu’à cet instant je me demande ce que tu as envie de me faire partager et que je suis prêt à te suivre là où le plaisir nous attend.
Je prends mon téléphone et je découvre le texto que tu viens de m’envoyer. Je lis : « Je suis nue sous ma robe ». Je te regarde. J’adore cette sensation, celle de devoir maitriser totalement mon désir. Ton regard glisse vers mon entre-jambe. Tu sais que mon désir est présent et tu sens une délicieuse moiteur s’emparer de ton intimité. Notre envie est intense.
Tu me regardes avec insistance, pleine de désir, et lorsque tu quittes la pièce, tu sais que je vais te suivre. Tu ouvres au hasard une porte qui donne sur un bureau. Te entres et tu refermes la porte. Tu attends quelques secondes, le cœur battant. J’entre à mon tour et nos corps se collent l’un à l’autre immédiatement, nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent dans un baiser sauvage. Je m’empresse de remonter ta robe et ma main droite se glisse, fébrile, entre tes cuisses. Mes doigts découvrent combien tu es mouillée d’excitation. Tu viens t’asseoir sur le bureau derrière toi, la robe retroussée, et aussitôt, sans ménagement, je viens planter ma queue entre tes lèvres trempées. Mes coups de reins sont intenses. Tu ne m’as jamais vu ainsi, aussi excité et terriblement bandant.
Je ne prononce aucun mot et tu sais cette fois que c’est moi qui maitrise ton désir, que ton plaisir est entre mes mains. Dans un ultime coup de reins, je jouis en toi, en grandes salves de sperme brûlant, ma queue plantée si profondément en toi qu’elle ne te laisse même pas le temps de prendre à ton tour ce plaisir tant attendu.
Je me retire, remonte mon pantalon. Tu me regardes, médusée. Puis je quitte la pièce, sans un mot.
Tu restes là, assise sur le bureau, la robe retroussée, partagée entre la colère et l’admiration. Tu te dis à cet instant : « Tu as voulu jouer, ma belle, et tu as perdu », et tu ressens aussitôt une vraie fierté, celle d’avoir su m’emporter si loin dans mon plaisir.
Tu prends ton téléphone et tu lis le texto que je viens de t’envoyer : « Merci pour ce plaisir sublime. Je te promets de me faire pardonner ».
Tu te relèves, réajustes ta robe, tes cheveux, et tu quittes cette pièce, cette soirée, sans m’accorder le moindre regard. Une fois dehors, tu m’écris à ton tour un texto : « Ne tarde pas. Je suis toute à toi. Je t’attendrai ».
Une fois rentrée chez toi, tu te déshabilles dans une sorte de hâte fébrile et tu te couches aussitôt dans ton lit. Ton excitation ne s’est pas calmée. Ta main vient se glisser entre tes cuisses. Tu gardes le souvenir de ma queue entre tes cuisses, de mes coups de boutoir qui m'ont amené si rapidement à la jouissance. C'est un souvenir à la fois doux et frustrant, qui t'a laissé sur ta faim.
Tes doigts trouvent rapidement ton clitoris. Ils l'effleurent d'abord, puis le titillent, le pétrissent. Des images fulgurantes traversent ton esprit : des queues géantes, gonflées de désir, frôlent ton corps, caressent tes seins, glissent entre tes cuisses comme des serpents tentateurs, se branlent dans ta bouche, tes oreilles, ton cul, ta chatte. Tu sens le plaisir monter rapidement et tu as envie d'une jouissance rapide, une jouissance si puissante qu'elle te laisserait sans force, anéantie.
Tes cuisses se referment sur ta main qui s'active, de plus en plus vite, sur ta chatte brûlante. Tu te branles comme une forcenée, acharnée au plaisir, brûlante et gémissante.
Le plaisir est rapide, si violent qu'il te cloue au lit. Délivrée de cette tension qui t'avait mis les nerfs en feu, tu finis par t'endormir rapidement.
Lorsque je te retrouve dans la chambre, tu es profondément endormie. J'ai pensé à nos retrouvailles toute la soirée et je suis un peu déçu de constater que tu ne m'as pas attendu. Je me déshabille en silence et je viens me glisser en douce sous les draps. Je me colle à ton dos. Je savoure un moment le contact de ton corps désormais tout chaud du sommeil qui t'enveloppe. Ma queue est raide et vient se glisser naturellement entre tes cuisses. Je respire le parfum de tes cheveux, de ta nuque. Je dépose de légers baisers au creux de ton omoplate. Mes mains glissent sous tes bras et viennent cueillir au creux des paumes tes seins si chauds, si doux. Ta respiration est lente et régulière et je ne sais pas si tu dors réellement ou si tu fais semblant. Cette incertitude et ta passivité m'excitent terriblement.
Je masse plus fermement tes seins, pince légèrement tes tétons que je fais rouler entre le pouce et l'index. Je crois t'entendre gémir, un gémissement si léger qu'on le croirait né d'un rêve. Mais peut-être rêves-tu réellement, un rêve délicieusement érotique où je serais présent. J'aime cette idée, d'être à la fois présent physiquement et présent dans tes songes.
Ma queue furète entre tes cuisses, cherche l'ouverture chaude et humide où elle pourrait enfin glisser à son aise. Je bande comme un taureau et pourtant, je ne me suis jamais senti aussi patient.
Ton cul ondule légèrement et caresse mon bas-ventre d'imperceptibles mouvements circulaires et c'est une caresse délicieuse. En basculant un peu ton bassin, tu permets à ma queue de trouver naturellement l'entrée soyeuse de ta chatte qui l'engloutit aussitôt. Je suis fasciné par tes dons de magicienne, cette manière d'être dans le plaisir presque innocemment, sans qu'à aucun moment je ne sache si tu es réveillée.
Je commence à aller et venir en toi, lentement, très lentement, tandis que tu continues à onduler ton cul. Nous pourrions faire ainsi l'amour la nuit entière, à la paresseuse, ton cul soudé à mon bas-ventre. C'est à peine si nos souffles se font plus hachés.
Je me colle un peu plus à toi, t'encercle un peu plus fort dans mes bras et nous remuons ensemble, au même rythme langoureux. Nous sommes désormais un seul et même animal fabuleux échoué quelque part sur la banquise.
Le plaisir nous prend ensemble, un plaisir qui irradie tout notre corps et nous fait frissonner longtemps, très longtemps encore après la jouissance.
Nous n'avons pas prononcé un seul mot.
  , et  aiment ça.
Manoue
Pas mal...............!!
  • 25/11/2014
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Valdere
Merci
  • 25/11/2014
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carla
hummmmmm ça donne envie d'être réveillée en pleine nuit...........
  • 06/05/2015
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Valdere
Et le plaisir aussi de réveiller l'autre ainsi ...
  • 14/05/2015
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carla
Ah mais oui bien sur! Vive la réciprocité!!!
  • 15/05/2015
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