Love hôtel

Nous avons fini par trouver ensemble un hôtel qui puisse nous accueillir pour l'après-midi. Un désir puissant m'envahit à peine la porte de la chambre franchie. Tu es là, devant moi, et tu me tournes le dos. Je m'approche et mes bras viennent entourer ta taille. Je me colle à ton dos et tu sens mon désir déjà tendu sous mon pantalon.
Je dépose de légers baisers au creux de ta clavicule, derrière ton oreille et je respire l'odeur de tes cheveux. Mes mains glissent sous ton chemisier, goûtent à la douceur de ta peau nue. Je prends le lobe de ton oreille entre mes lèvres et je le mouille de salive en le suçant délicatement. Tu viens coller un peu plus ton cul sur mon ventre. J'ai du mal à dissimuler que je bande comme un taureau. Mes mains remontent vers ta poitrine, massent tes seins encore prisonniers du soutien-gorge. Tu commence à gémir légèrement et je te chuchote à l'oreille : "Tu es terriblement bandante, tu sais."
Tu ondules un peu du cul contre mon entre-jambe. Ta main gauche glisse vers l'arrière et vient tâter la bosse de mon pantalon. Je déboutonne les premiers boutons de ton pantalon et ma main droite glisse aussitôt par l'ouverture, jusqu'à la lisière de ta culotte. Tu écartes légèrement les cuisses pour me faciliter le passage et ma main descend légèrement. De deux doigts, je joue avec l'élastique de ta culotte, puis ma main, comme un serpent agile, s'insinue sous ta culotte. Je sens sous mes doigts la chaleur ton ventre. Je glisse un doigt à l'entrée de ta chatte qui frémit sous la caresse. Tu es déjà très humide. Mon doigt coulisse lentement entre tes lèvres gonflées de désir. Je retire mon doigt et je le lèche. J'aime le goût de ta chatte.
Tu te retournes pour me faire face, ma main droite glisse dans ton dos et nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues s'enroulent, nous buvons nos salives comme des assoiffés.
Je déboutonne avec fébrilité ton chemisier qui vient échouer sur le sol, puis je dégrafe les attaches de ton soutien-gorge. Tes seins jaillissent comme deux globes fabuleux. Je les prends entre mes mains, fait rouler tes tétons avec le pouce. J'approche mon visage et je commence à embrasser la rondeur douce et soyeuse de tes seins. Puis je prends tes tétons entre mes lèvres, ma langue glisse sur leur pointe et je les suce avec avidité et gourmandise.
Tu as retiré la ceinture de mon pantalon et tu commences à me déboutonner. Mon pantalon glisse sur mes jambes. Tu vois ma queue, tendue sous le boxer, et quelques gouttes de mon désir sur le tissu. Tu fais glisser mon boxer à son tour. Ma queue jaillit aussitôt, terriblement raide et terriblement juteuse. Le gland est décapuchonné, violet et un peu humide.
Tu t'accroupis devant moi. Tu commences par passer ta main sous mes bourses chaudes. Tu les pétris légèrement. Je gémis de plaisir. Puis tu prends ma queue entre ta main et tu commences à faire aller et venir le bout de ta langue sur mon gland qui se tend un peu plus sous la caresse. Tu lèves vers moi des yeux malicieux et plein de désir. Je pose mes mains sur ta tête et tu commences, avec une extrême lenteur, à faire coulisser ma queue entre tes lèvres et à l'avaler toute entière.
Tu me suces avec gourmandise. Ta main continue de me masser les couilles, puis glisse entre mes cuisses. Tu déplies ton index qui vient effleurer la ligne moite de mon cul, puis la fronce brune de mon anus. Tu retires de ton doigt et tu viens le lécher en me regardant d'un air de diablesse tentatrice. Puis tu recommences à me sucer goulûment. Ton doigt vient de nouveau effleurer l'entrée de mon anus, le caresse par de doux mouvements circulaires, avant, lentement, de s'introduire.
Je me cambre sous la caresse. Ta bouche a pris possession de ma queue et ton doigt va et vient dans mon cul. Mon plaisir est intense. J'ai une envie folle de jouir dans ta bouche, mais je me retiens.
Je te demande de te relever. Ma langue glisse aussitôt dans ta bouche et je savoure sur tes lèvres le goût laissé par ma queue.
Je te retourne et je saisis tes fesses à pleines mains. Ma queue caresse le sillon moite de tes fesses, puis l'entrée de ta chatte. Je m'enfonce d'un coup en toi, jusqu'à la garde.
Ta chatte est une fournaise qui enserre ma queue comme un étau surchauffé. Je vais et viens en toi, doucement, et j'élargis ta chatte par de lents mouvements circulaires. Tu mouilles éperdument, ta chatte et tes cuisses sont trempées.
Ma queue coulisse en toi comme dans du beurre. C'est un pur délice. J'aime voir ainsi ma queue entrer et sortir en cadence de ta chatte qui se dilate à chacune de mes pénétrations comme une fleur fabuleuse.
J'ai passé mes mains sous tes bras et j'ai saisi tes seins à pleine paume. Tandis que je te pistonne à un rythme de plus en plus fort, je masse, malaxe, pétris tes seins, titille tes tétons durs et raides. J'aime te baiser ainsi. J'aime ton cul qui se balance et vient se frotter à mon bas-ventre à chaque coup de boutoir de ma queue.
Nous baisons l'un l'autre au même rythme, de plus en plus fort. Dans une ultime poussée, je m'agrippe à tes hanches et je jouis enfin, du sommet de mon crâne jusqu'au bout de mes pieds, un plaisir qui me vrille les nerfs tandis que ma queue tressaille en faisant gicler dans ta chatte brûlante de longues salves de sperme onctueux.