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Je ne t’ai pas entendu approcher, où je n’ai pas voulu entendre, mais je ne peux plus t’ignorer quand tu écartes les cheveux de ma nuque pour l’embrasser avec douceur. Tu me courbes la tête afin que je m’offre mieux et tu passes tes lèvres le long de mon cou. Tes mains caressent mes cheveux, tes lèvres cherchent mes frissons sur le duvet de mon cou et je dois avouer qu’ils sont mes aveux pour ta passion.

Tu prends mes cheveux, attirant ma tête en arrière, et sur ma gorge exposée, tu poses ta bouche brulante. De l’autre main ce sont mes seins que tu caresses en conquérant ; je me lève brutalement, suffocante. D’une ruade violente j’essaye de me libérer de ton poids sur moi. Peine perdue, tu as anticipé ma fuite et tu me tiens plus fermement. Mon cœur s’affole et je me rebelle, tu te colles à moi et m’empêche de bouger.
Je m’entends haleter et je suis prête à crier. Pressée contre le bureau par ton corps chaud, je me sens comme une vierge qu’on va immoler, sans défense, anxieuse et excitée à la fois.Tes mains prennent mes seins sans précautions, pinçant cruellement mes mamelons dressés au travers de ma chemise. Je me sens très excitée, c’est vrai, l’excitation incontrôlable que doit ressentir la proie face à son prédateur. J’essaye de me libérer par de brusques flexions et tu pinces plus fort mes tétons, me faisant presque pleurer. Je me calme à peine, le temps de baisser la tête et de planter mes dents dans ta main que tu ne retires pas assez vite. Une morsure que je ne voulais pas trop douloureuse malgré tout, mais mon état de stress m’ôte toute modération et tu pousses un cri de douleur.

Agrippant mon col, tu tires violemment, déchirant en deux ma pauvre chemise que tu fais glisser le long de mes bras avant de l’oublier par terre. Je me retrouve nue à part un string dérisoire. Je me cambre en sentant tes mains courir sur mon dos ; oubliant ton emportement, je trouve un plaisir animal à me sentir ainsi désirée, bientôt possédée. Mon corps te réclame, mon esprit proteste, esclave de conventions que je sens fondre sous tes caresses sensuelles.

Ta main glisse sur mon ventre qui palpite, passe sous l’élastique de mon string, atteint mon sexe épilé. Tu caresses sans douceur, mais sans brutalité, explorant mes lèvres et mes endroits sensibles avec beaucoup de doigté. Je me sens couler et j’en ai la preuve quand tu caresses mon visage de tes doigts mouillés de ma cyprine. Je les prends dans ma bouche pour les sucer. Quand ta main redescend vers mon sexe qui s’ouvre, c’est ma salive qui humecte mes lèvres intimes.

Tu te recules un peu et tu tires sur la fine ceinture de mon string qui cède en claquant. Pour un malheureux bout de tissu qui disparait, je me sens soudain tellement exposée que de nouveau mon cœur s’emballe. Ta main se pose sur le creux de mes reins, descend sur le haut des fesses, ton majeur glisse vers le bas, les écarte jusqu’à mon bouton de rose qui palpite. J’ai peur et j’ai envie, je voudrais me sentir pénétrée et enfin laisser exploser ce plaisir qui monte en moi.
Je sens ta main ouvrir ton pantalon, sortir ton pénis dressé, le glisser entre mes cuisses que je serre à m’en faire mal. Tu crois quoi ? Qu’on peut me posséder ainsi quand l’envie t’en prends ? Je te sens faiblir et tu prends mes hanches presque tendrement, caressant mon ventre. Tu embrasses mon épaule et j’aimerai tourner la tête pour prendre ta bouche, émue, perdue.
Je réalise trop tard ce qui m’arrive ; tu prends mes hanches et me soulève, m’obligeant à m’appuyer sur mes bras tendus pour ne pas tomber sur le bureau. En un instant je te sens glisser en moi, forçant ma vulve qui ne pouvait résister tellement elle est ouverte et mouillée. Cette partie de moi a déjà renoncé au combat. Je ne peux plus me refermer. Tu me pénètres à grands coups de reins comme si je ne pesais rien. Ton membre me fouille, coulissant sans heurt dans mon pertuis si bien lubrifié que je sens des filets liquides couler le long de mes cuisses.

Incapable de poser les pieds sur le sol, je noue mes jambes en arrière sur tes fesses. A chaque pénétration, je tire plus fort, plus violemment. A mesure que des perles de sueur le parent, mon corps nu devient glissant. Je ne peux m’empêcher de penser au spectacle de ma peau qui luit dans la lumière douce de la lampe. Tu me poses sur le bureau sans lâcher mes hanches et tu continues à me pénétrer avec force. Mon ventre brule. Comme mes bras sont libres, je prends mes seins à pleines mains pour les presser.

Avec un long cri rauque, les mains crispées sur le haut de mes fesses, tu te vides en moi en une succession de spasmes qui me bouleversent. Je contracte mes muscles pour te rejoindre dans le plaisir. Mon vagin repousse ton membre tandis qu’une giclée d’un liquide chaud jaillit de moi, éclaboussant nos sexes unis. Je me recroqueville contre toi et je commence à jouir en vagues de plus en plus profondes, de plus en plus intenses.
Dans un geste d’infinie tendresse, tu me cueilles et m’enveloppes dans tes bras. Ton baiser est la douceur exquise qu’il me fallait pour apaiser lentement mon corps en furie.
El_Pro_fessor
Merci pour ce partage. Tu m'as transporté dans la scène. J'ai presque senti la chaleur des corps qui s'ébattent sur le bureau, entendu les haletement rauques et les claquements de la peau sur la peau. Belle écriture...
  • 13/04/2016
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