Inscrivez-vous !
Charnelle Attitude <-- Cliquez vite pour profiter pleinement du site (c'est gratuit) !
L'inscription permet l'accès aux photos rondes, aux annonces d'hommes, femmes rondes et couples libertins, au tchat, à la messagerie de rencontre gratuite

par
C'est la fin du Monde. Les médias l'affirment ouvertement depuis au moins une semaine. Après relecture exacte du calendrier Maya, les astronomes et autres spécialistes s'accordent à dire que le monde arrive à sa fin ce soir. Depuis que le moment précis a été annoncée ce matin, j'ai fait un pied de nez au destin et invita ma favorite à passer la dernière nuit ensemble. Le passé va se mourir, le futur n'existera plus mais au moins nous aurions profité du présent.
Dès que la nuit fut tombée, elle me rejoignit chez moi, toute vêtue de noir, les yeux brillants d'astraux désirs et ses rondeurs m'appelaient déjà. Au fur à mesure que la fin du monde menaçaient, mon désir profond pour cette dame à peine arrivée augmentait exponentiellement.
A son arrivée, j'avais laissé la télévision allumée, la réception était mauvaise mais les médias braillaient encore et sonnaient partout le glas du Monde. Des images satellites tournaient autour de la ronde sphère, dévisageaient chaque recoin, en visualisant les zones les plus sensibles et en mettant à nu le manteau terrestre pour mesurer son amplitude. C'est ce qu'également je fis avec ma tendre invitée, je lui retira délicatement son manteau noir à fourrure synthétique pour aller le poser et lui tourna autour en reluquant discrètement sur sa beauté callipyge. Sa coiffure et sa stature, petite mais fière, lui donnaient des airs de déesse mythologique, telle Perséphone, et lui conféraient presque l'image métaphorique de présage, d'augure à la luxure et à l'ébranlement de tout un monde, le mien.
La gravité était aussi forte que mon attirance ce soir là. L'atmosphère était lourde mais nos cœurs étaient légers. Nos âmes étaient en parfaite connexion. Les mots que nous échangions se finissaient par des rires, par des regards tendres ou même par des caresses … Nous nous étions assis sur le bord de mon modeste lit, je lui pris sa main la plus proche, lui embrassa en lui souriant et frôla sa main avec le bout de mes doigts en les glissant entre ses phalanges boudinés. Elle me parla suavement. Sa douce voix résonnait dans ma tête tandis que la télévision commençait à se brouiller, on n'arrivait plus qu'à distinguer que quelques mots par-ci, par-là, entremêlés de sons saturés et distordus. J'éteignis par le biais de la télécommande le téléviseur et invita de ce pas ma charmante Dame à se dévêtir. Nous nous levons pour se déshabiller mutuellement toujours avec beaucoup de respect et de tendresse.
Nous voilà maintenant, nos hauts retirés, moi la tenant par la taille, mes mains posées à même sur ses poignées d'amour généreuses et mes yeux rivés sur sa poitrine abondante encore prise au piège par son élégant soutien-gorge, rouge et noir. Soucieux de lui la libérer, je lui fis signe de se retourner afin de desserrer le joug et retirer l'entrave à la libération de ses beaux seins. Une fois la main sur les accroches qui comprimaient légèrement son dos alors que je m'apprêtais à les décrocher, une secousse se fit ressentir dans l'appartement et la lumière au plafond de mon studio s'éteignit soudainement ainsi que tout autre appareil électrique. Le léger souffle de mon frigo se tût immédiatement aussi et la lueur rouge de mon réveil sur la table de chevet n'affichait plus aucune heure. Nous étions dans le noir presque total, seule la lune, qui se tenait face à ma fenêtre, éclairait la pièce de sa sobre clarté qui se reflétait sur nos peaux nues. Avec douceur, malgré ma maladresse masculine naturelle, je réussi à dissocier les deux agrafes. Madame se tourna et me laissa retirer délicatement son soutien-gorge. Nous ôtâmes ensuite nos derniers sous-vêtements. A la vue de la splendeur de sa poitrine, je ne pus résister à lui titiller les tétons avec une dextérité insoupçonnable et à les prendre dans ma bouche pour les exciter. Je pris les deux magnifiques seins dans mes mains, les regarda puis continua à frôler les tétons ressortant avec mes doigts coquins.
Soudain, une autre secousse, plus légère, se fit ressentir, ce qui manqua de nous faire basculer sur le lit. Ma verge était durement en érection, cela faisait un moment déjà et madame me prit le pénis par la main en se jetant lentement sur le lit, le lacha et finit les jambes ouvertes face à moi en m'y invitant vivement du regard. Comme c'était notre dernier instant, je décida de tout donner. Nous avions une intime confiance l'un de l'autre. Nul besoin de protection, d'autant plus que ce sera notre dernière fois. L'espoir de survivre n'avait pas sa place ici, nous n'avions juste à succomber sans réfléchir au plaisir et à la frivolité. Une grosse secousse me fit tomber sur le berceau auprès de là où ma Dame s'était installée, quasiment la nez sur son refuge secret. Nous rions de la situation et je commençai de ce fait à lui faire le plus délicieux des cunis. Mes doigts a l'entrée de son antre prêts à glisser entre les lèvres déjà mouillées. Je frôlai et frottai l'endroit le plus proche du clitoris avec mon nez et lui léchai le bord des lèvres tout en caressant ses cuisses avec mes mains libres. J'entendais ma chère et tendre jouir à demi-mot. Je continua sur ma lancée en titillant ses sens et son clitoris avec mon gros pouce en faisant des arcs de cercle autour de celui-ci en m'égarant parfois près de l'entrée du vagin. Je me retira lentement de son entre jambe en lui cajolant tendrement ses jambes jusqu'aux pieds. Je frissonnai à l'idée de pénétrer ma dame pour la dernière fois. Puis soudain, un nouveau mini séisme me fit chanceler sauf que cette fois-ci un léger morceau du plafond est tombé non loin de l'entrée de l'appartement et les murs se fissurèrent. J’insérai alors presque systématiquement mon dur et long attribut masculin dans le tunnel de l'amour que m'offrait ma favorite. Des va-et-vient intenses et amoureux s'en suivirent … A chaque fois que j’enfonçais mon sexe turgescent au fond du corps de ma partenaire et que les humides parois vaginales étaient frottées et ramonées, la jouissance sonore de la propriétaire résonnait dans la pièce et des secousses sismiques accompagnées à présent chaque aller-retour. De la lumière rougeâtre transparaissait dehors, une cheminée de volcan avait émergé au cœur de la ville. L'éruption était sur le point d'avoir lieu. Ma déesse, ma Perséphone sentant la fin venir, se retira momentanément et me fit comprendre qu'elle voulait que je me couche et qu'elle me chevauche. Une fois couché, le pénis à l'air, elle me grimpa dessus de tout son poids et s'empala doucement mais avec envie sur mon volcan érectile. Elle dandina son corps autour de celui-ci et s'agita fortement, succombant au plaisir des plus profonds, mes mains sur ses hanches bien remplies. Chaque fois que son corps s'affaissait, de plus en plus vite, sur le mien pour se servir de la dureté de mon pénis, les fissures des murs et du plafond s'agrandissaient. Toujours joint par de plus en plus violents et destructeurs tremblements de terre, la jouissance grandissait proportionnellement à ces derniers. Un large morceau de plafond tomba à côté de ma tête alors avec mon bassin je fis mime de tenter de soulever ma gente dame à plusieurs reprises afin d'accélérer encore davantage le mouvement. Je le sens venir. L'éjaculation et l'accomplissement mutuel qui va avec arrivent tandis que l'immeuble est sur le point de céder et de s'effondrer. La chaleur de nos deux corps ainsi que celle du frottement et le plaisir qui en découle nous procurent une satisfaction inégalée jusqu'alors. La température monte tel un magma sous pression. Ça devient presque intenable de résister. Puis soudain le volcan explose … la lave jaillit instamment du sommet au milieu de la ville tant que ma semence se libère également dans le vagin de ma partenaire. Le sol tremble. Le plafond se tord. Ma dame rabat son corps rond vers moi, ravie de cet ultime accomplissement. La tête dans ses seins. Le plafond nous rejoint lui aussi. Et le sol s'affaisse et nos corps amoureux avec lui …Nous plongeons tous deux dans l'infini!
… …. ….
Puis je sursauta de frayeur … Ce n'était qu'un rêve... Ouf! J'espère que la prochaine fois que j'aurais la chance de rencontrer une gente dame, ça ne sera pas à la fin du monde... Lol
Merci de retaper ce code :
Reload Image
Retapez le code de vérification