Le SEXE en voiture

J'ai pratiqué, fut un temps, toujours en étant conductrice mais de différentes manières.

En préliminaires avec un partenaire que je passais prendre pour qu'on aille chez moi, j'aimais assez le fait de profiter des feux, des stops, des arrêts, puis de suspendre les caresses pendant que je roulais, ça faisait monter le désir, donc le plaisir et l'excitation. Sans compter, bien sûr, l'exhibition latente.

En lieu dédié aussi, une fois, à l'arrêt donc et avec public là pour ça : regarder. Ce n'est pas une expérience mémorable d'ailleurs, ni pendant, ni après pour nettoyer la voiture

Et puis à diverses occasions parce que oui, la voiture permet de s'arrêter un peu n'importe où et de consommer sur place, et même d'utiliser certains de ses "accessoires" (je n'en dis pas plus, c'est cochon, je vous laisse imaginer).

J'avoue qu'aujourd'hui, ce n'est plus vraiment un endroit où j'ai envie de coquiner, sans doute à cause de ma taille, de mon volume et de mon âge (je rouille), c'est quand même très peu confortable, à moins d'avoir un gros engin (je ne parle pas du pénis !) et dans un petit habitacle, la gymnastique à faire pour prendre certaines positions peut vite couper les ardeurs (mais peut aussi provoquer de sympathiques fous rires).

Bon, allez, dans une limousine aux vitres teintées, en pleine foule mais sans être vus, avec du confort et de la place, je ne dis pas que ça ne peut pas redevenir un fantasme